Sinon, je trouve que tu utilises bcp "nonobstant" en ce moment


ben ouais... je trouve que ça va plus vite que d'écrire "mis à part" ou "si l'on ne tient pas compte de" (nonobstantFred a écrit : Sinon, je trouve que tu utilises bcp "nonobstant" en ce moment![]()
ça représente quoi, pour toi, et en chiffres, "un certain niveau" ?Fred a écrit :D'accord avec toi pour le volume. A partir d'un certain niveau, c'est AMHA le facteur discriminant de la performance.
Difficile de donner des chiffres, mais on va dire "le niveau pour se qualifier"PLUDJAMB a écrit :ça représente quoi, pour toi, et en chiffres, "un certain niveau" ?Fred a écrit :D'accord avec toi pour le volume. A partir d'un certain niveau, c'est AMHA le facteur discriminant de la performance.
Ok, merci Fred. Je n'ai pas suffisamment d'expérience pour juger de la pertinence de cette approche, mais ça me paraît très logique. Ensuite faut pouvoir les encaisser les +20h...Fred a écrit :Difficile de donner des chiffres, mais on va dire "le niveau pour se qualifier"PLUDJAMB a écrit :ça représente quoi, pour toi, et en chiffres, "un certain niveau" ?Fred a écrit :D'accord avec toi pour le volume. A partir d'un certain niveau, c'est AMHA le facteur discriminant de la performance.
.
Autant sur MD, avec 15h hebdos bien pensées, tu peux rivaliser avec des mecs qui en font 5 à 10 de plus par semaine (grâce à d'autres éléments : capacité intrinsèque, gestion de course...), autant sur IM, ce déficit d'heures d'entrainement te fait souvent cruellement défaut sur le marathon quant tu es en concurrence avec les mêmes gars...
Certes, mais malgré tout, pour chaque GA et chaque IM, je pense qu'on peut estimer le minimum de condition physique nécessaire et préalable pour pouvoir espérer "décemment" se qualifier (si tout se passe bien, pas de crevaisons, pas de pb d'alim, course bien gérée, etc...).- Djé - Jérôme - a écrit :Pour moi un niveau ne se chiffre pas, cela se voit plutôt au résultat et surtout à la progression de ses résultats.
Un mec de 60Kgs avec 490W de PAM, à "le niveau", ou plutôt le POTENTIEL, d'être avec les pros, mais voilà son objectif, sa passion est ailleurs (genre boulot famille etc.).
Un mec avec un travail super régulier, avec un potentiel plutôt moyen, peu arriver avec des résultats très bons et même meilleur que le mec suscité précédemment.
Après à quoi ça sert de chercher un niveau dans une qualif, car il est très variable à chaque compétition.
Comme par exemple, j'ai eu la chance de me qualifier avec un maigre 10h20 et 2 slots dans la caté.
C'est loin d'être facile, donc le mieux c'est de faire la meilleure course qu'on peut le jour présent et voir ce que ça donne à la fin. A un Niveau, Heure, Intensité, quelconque.
Et au final, à hawaii, tu finis dans les derniers de ton G-A!
on est bien d'accord sur ce point. pour ma part, si je travaillais à mi-temps et que je consacrais 10h de plus par semaine à (bien) m'entrainer, je serais certainement un meilleur triathlète ...PLUDJAMB a écrit :dans ce cas là, on est bien d'accord, nonobstant disponibilités horaires, facilités d'entrainement, etc...etc..., l'élévation du niveau sportif est bien concomitante à celle du volume, non ?
çà fait 100 de VO2max une PMA de 490 pour 60kg- Djé - Jérôme - a écrit : Un mec de 60Kgs avec 490W de PAM, à "le niveau", ou plutôt le POTENTIEL, d'être avec les pros, mais voilà son objectif, sa passion est ailleurs (genre boulot famille etc.).
Euh, ta copine vient de te larguer ??lévrier94 a écrit :Votre post, on devrait le renommer, voici différentes propositions :
- combien d'heures par semaine mini faut t-il pour éliminer toute vie sociale
- quel volume hebdo mini pour plus être capable d'en foutre une au bureau (ou comment perdre son job)
- quelle charge d'entrainement pour même plus être capable de tirer un petit coup avec sa copine (ou comment devenir cocu ou célib)
ou bien tout en même temps :comment devenir un pov naze marginalisé , seul, fauché et les couilles pleines
BANDE DE NAZEBROQUES vous avez vraiment des préoccupations gravissimes !