zigjack a écrit :Je suis preneur également
Proprement en plus....
Tu te détends bien et en faux-plat descendant tu te rappelles ton premier cuissard où tu n'avais pas compris la différence entre peau de chamois et couche et zou Rinçage à l'eau avec un coup de bidon dans le cuissard et on en parle plus.
Sinon, il y a la technique avec sortie extérieure du "matériel" (pas forcément possible en trifonction), c'est certes plus propre, mais plus long et plus dangereux.
zigjack a écrit :Je suis preneur également
Proprement en plus....
Tu te détends bien et en faux-plat descendant tu te rappelles ton premier cuissard où tu n'avais pas compris la différence entre peau de chamois et couche et zou Rinçage à l'eau avec un coup de bidon dans le cuissard et on en parle plus.
Sinon, il y a la technique avec sortie extérieure du "matériel" (pas forcément possible en trifonction), c'est certes plus propre, mais plus long et plus dangereux.
NickTheQuick a écrit :
Tu te détends bien et en faux-plat descendant tu te rappelles ton premier cuissard où tu n'avais pas compris la différence entre peau de chamois et couche et zou Rinçage à l'eau avec un coup de bidon dans le cuissard et on en parle plus.
Sinon, il y a la technique avec sortie extérieure du "matériel" (pas forcément possible en trifonction), c'est certes plus propre, mais plus long et plus dangereux.
Joel a écrit :Perso je suis à 600 ml grand maxi.
Je pense qu'on peut travailler cette absorption mais pas dans des proportions phénoménale. Faut faire avec ce qu'on a.
D'ou l'utilité de bien fractionner ses prises de boisson.
Au niveau pipi j'étais à 2 fois dans l'eau, 2 fois sur le vélo et une à 2 fois à pied en moyenne sur IM.
Par contre temps perdu = négligeable. On s'arrète pas pour ça. Y'a des techniques pour faire ça correctement.............
bon ben je bois peut etre pas assez...
Sur Nice c'est un pipi dans combi et un au début du marathon... pas plus...
PLUDJAMB a écrit :J'ai lu plusieurs fois qu'il fallait boire toutes les dix minutes sur IM.
Autant je trouve que ça se justifie sur la partie course à pied, à cause du poids du liquide qui peut géner et "balloter" dans le tube digestif, mais sur la partie vélo, vu que c'est un sport porté et que les secousses sont quasi inexistantes ?
Que se passe-t-il si on boit un bidon d'un coup ? de toute façon, le liquide ne pourra pas, mécaniquement parlant, s'engouffrer en force dans l'estomac... il va rester dans le tube digestif, et sera assimilé au fur et à mesure, non ?
d'après Dave Scott, une ou deux gorgée de boisson énergétique tous les 5km.
Pour moi c'est une gorgée toutes les 5' (toutes les 4' en 2005.. faisait chaud et c'était pas assez...)
Par contre je réfléchis à d'autres choses :
- il ne faut pas négliger l'hydratation avant le départ
- il faut essayer d'estimer la déshydratation lors de l'heure de natation... pas négligeable et ayant plusieurs impacts potentiels : déshydratation en elle même + surconcentration gastrique en glucide lors de la première ingestion de barre/gel (et douleurs qui vont avec ou ralentissement de la vidange gastrique)
- la vidange gastrique est plus rapide avec une quantité de liquide assez importante (500ml) dans le ventre qu'avec moins...
- quel est sa déshydratation propre et sa capacité à boire...
Du coup je pense :
- plus boire avant le départ
- bien boire après la natation
- boire peut être toutes les 10' au lieu de 5 mais en quantité plus importante et surtout lorsque j'absorbe un gel/barre...
- rajouter un peu de sel comme toujours... la vidange gastrique et l'assimilation de glucides étant accélérée avec une légère concentration en sodium... (et on limite l'hyponatrénie pour les gens qui suent beaucoup et salé comme moi...)
L’hydratation doit se travailler à l’entraînement (comme le reste).
Ce qui est le plus dur à appréhender, c’est les problèmes liés à l’hydratation qui surviennent en fin de course.
A moins d’être une bille (et de n’avoir jamais traîné sur OnlineTri), tu ne te trouves que rarement dans un cas où tu n’as pas bu du tout.
Tu creuses ton déficit hydrique petit à petit, et quand tu t’en rends compte il est trop tard.
Reproduire l’hydratation (et l’alimentation) sur un LD ou IM n’est pas évident parce que tes sorties longues d’entraînement seront de toute façon plus courtes que l’ensemble de ta course.
De plus, quand tu habites au-dessus de la Loire, il est difficile de s’entraîner par exemple en Mai-Juin avec les températures que tu trouveras en Juillet-Août en peu plus bas.
Donc tu ne peux qu’apprendre de tes courses passées, car, comme les réactions à ce post le confirment, chacun réagit différemment, et il est donc difficile de s’appuyer sur l’expérience des autres
Pour ma part, en température clémente (<25°), je n’ai jamais eu aucun problème d’hydratation, quelque soit la durée de la course. Dès que le thermomètre tape les 25°, c’est la Bérézina (surprenant , non ?). Soit je n’arrive pas à boire assez parce que j’ai pas naturellement soif, soit je n’arrive plus à assimiler car trop de liquide dans l’estomac. Ne pas oublier l’effet du vent qui assèche sacrément et perturbe la perception de ce que tu perds réellement. J’ai de grosses difficulté à boire plus de 500 ml par heure.
Là où j’en suis de mes tâtonnements pour application en 2008:
- Le timer pour rappeler de boire (et de manger) : toutes les 7 minutes sur une course « clémente », 5 minutes si la température à un moment de la course risque de passer au dessus de 25°, 10 minutes dans les plaisanteries comme Vendôme 2007.
- Un des deux bidons avec de la St Yorre éventée (à la cuillère, pas au shaker et sans olive , patron)
- Les tomates mûres dans la BentoBox avec, au fond, une bonne dose de sel fin (dans mon cas, çà permet d’éviter le problème de vidange gastrique dû à sur-abondance de liquide, parce que c’est du solide qui passe même si la tomate, c’est beaucoup de flotte- en plus, j’aime bien les tomates, c’est plus facile et çà passe mieux avec le sel que la pastèque). J’hésite encore à mettre un peu de poivre pour le goût.
En cas de problème, pour relancer la vidange gastrique, Coca à température ambiante.
Concernant les pauses techniques, Joël a raison, il y a des techniques pour cela et idem, cela se travaille à l’entraînement.
Pour la partie natation, je privilégie un entraînement en eau vive plutôt qu’en piscine. J’ai gagné 10 minutes entre Embrun 2007 et Embrun 2006, la moitié au moins vient de l’entraînement pause pipi réalisé cette année.
Pour Deffective, ce n’est visiblement pas disqualificatif de se ch… dessus. J’ai le souvenir d’une course en 2007 où j’ai été doublé en CàP par un concurrent que j’ai bien senti arriver. Pas de disqualification à l’arrivée. De toute façon, tu n’as pas le choix, c’est disqualificatif de montrer ses fesses.
FLL a fait plus long que moi... Damned, je faiblis!
Bon, mon avis :
- les tomates... why not mais c'est acide et suis pas sur que ton estomac aimera de telles variations... il faut retenir que l'on est en equilibre et qu'il ne faut pas perturber trop rapidement son petit estomac.
- le sel : je fais faire des gelules chez le pharmacien (0.5 ou 1g)
- le coca : a réserver en cas d'urgence. Concentration énorme en sucre!!! encore une fois perturbation rapide du système digestif... et risque d'hypoglycémie par osmose inverse
les tomates, j'ai déjà essayé, si elles sont bien mûres, pas de problème, çà passe. elles m'ont sauvé la mise sur la partie marathon d'Embrun en 2006.
le sel, j'ai testé les pastilles : beurk, pouah! en sel fin, c'est beaucoup mieux, en plus, avec les tomates çà fait pique-nique. Manque plus que les cornichons (Feu Nino Ferrer te rappellerait de ne pas oublier le parapluie)
le coca, pas de risque lié au sucre, tu sais bien qu'il est coupé sur les courses
FLL a écrit :les tomates, j'ai déjà essayé, si elles sont bien mûres, pas de problème, çà passe. elles m'ont sauvé la mise sur la partie marathon d'Embrun en 2006.
le sel, j'ai testé les pastilles : beurk, pouah! en sel fin, c'est beaucoup mieux, en plus, avec les tomates çà fait pique-nique. Manque plus que les cornichons (Feu Nino Ferrer te rappellerait de ne pas oublier le parapluie)
le coca, pas de risque lié au sucre, tu sais bien qu'il est coupé sur les courses
francois
je ne parlais pas de pastilles de sel, mais de gelules que tu avales : pas de goût... pratique
c'est très personnel.
En fait, cela dépend de ta sudation (quantité, teneur en sel).
Sur une épreuve "chaude" comme nice je prends 1g/heure.
J'ai trouvé quelques publications où ils parlent de 1.2g/L qui permet en plus d'améliorer l'hydratation et l'absorption des glucides
PLUDJAMB a écrit :
Ce que je trouve étonnant, aussi, c'est le nombre de questions sur le matériel, comparé au peu d'interrogations sur la diététique... pourtant, quand tu lis les compte-rendus sur IM, c'est rare que les types imputent un DNF ou une mauvaise perf au matos, en revanche, les problèmes liés à l'alimentation sont légions...
Question intéressante, en effet, sur l'importance et l'optimisation consacrées par beaucoup à leur matériel (ce qui se voit, ce qui classe ou déclasse d'un seul coup d'oeil) par rapport à ce que l'on ingère (à l'intérieur donc, ce qui ne se voit pas) pour tirer le meilleur de son organisme et de son matériel.
A creuser...
"Etre beau et bien habillé est indispensable. Avoir un but dans la vie ne l'est pas." Oscar Wilde
- d'un côté le plaisir , alimenté par des vendeurs de matériel salivant déjà sur une marge substantielle : sur mon bô vélô, je serai le plus fort. En plus çà fait pas mal, il faut juste faire chauffer la carte bleue.
- de l'autre côté, la contrainte, manger des graines, boire de l'eau, bref plein de choses horribles (tu as vu la tête du capitaine Haddock quand il boit de l'eau ?). Tout çà, sur une durant laquelle le Veau de la Pentecôte succède au gigot d'agneau de Pâques qui suit les crêpes de la Chandeleur, juste après les galettes des rois qui n'ont même pas laissé refroidir le froid gras et le chapon de Noël et du jour de l'an (blurps!).Abandonnerais-tu tout celà au risque, mauvais Français, de mettre un coup fatal à notre paysannerie Et ne viens pas me dire qu'un gateau énergétique çà vaut une bonne Forêt Noire.
à part être SM, la propension naturelle de l'homo triathletus nourri depuis des années par la société de consommation ira où à ton avis?
Je vais peut-être essayer la gélule de sel avec la Forêt Noire. à 1,2 g bien, sûr.
et zou
Rinçage à l'eau avec un coup de bidon dans le cuissard et on en parle plus.
Et ne viens pas me dire qu'un gateau énergétique çà vaut une bonne Forêt Noire.