Article essai Kuota Kebel dans "triathlète mag"
Article essai Kuota Kebel dans "triathlète mag"
Salut, quelqu'un aurait-il l'article concernant l'essai du Kebel dans triathlète magazine avec la possibilité de le scanner et de le mettre sur le site ou de me l'envoyer (échange d'adresses via un mp). Ou d'en faire un petit résumé.
Merci d'avance
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Veni, vidi, vici
je suis venu vider les cabinets
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- sam_niatira
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- sam_niatira
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Ben c'est un bon coursier, les CERFVELO perde encore des places, si ca continu, ils ne le resteront que d'etre "BO"F
aller je
sinon je m'occupe de vous faire parvenir l'essaie
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"Plus l'ascension est longue, plus la montée est difficile
plus grande sera la satisfaction et plus magnifique sera la vue une fois au sommet"
- Jigoro Kano
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- sam_niatira
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Quel est le point commun entre Normann Stadier et Javier Gomez?Noya ? Le vainqueur d'Hawaii et celui de la Coupe du Monde roulent en Kuota. En peu de temps, la marque italienne s'est taillée une jolie réputation. Le Kebel, une de ses nouveautés 2007 avec le Kom, devrait l'entretenir
Une marque peut elle avoir une philosophie ? C'est la question du mois. Je réponds oui en prenant l'exemple de Kuota. Comment comprendre autrement le succès d'un fabri cant né en 2001 ?L'entreprise était déjà présente dans le marché du vélo avec la fabrication des fourches Sintema. Cela n'explique pas tout.
Plutot que d'investir massivement dans le sponsoring d'équipes cyclistes profes sionnelles et des campagnes publicitaires, la société italienne a recherché sur le terrain des vecteurs de développement. Elle a notamment choisi le triathlon. Les frères Comalli, fondateurs de la marque, avaient saisi l'image forte véhiculée par ce sport. Kuota a ainsi soutenu et soutient toujours des triathlètes de renom, comme Normann Stadler, Javier Gomez?Noya ou en France Carole Péon, Cédric Fleureton
L'équipementier transalpin mise aussi sur un design novateur et une qualité finale avérée de ses produits. Il présente aussi une gamme pléthorique à même de séduire tous les besoins, les anciens modèles étant conservés volontairement. Et cela à des prix très compétitifs.
Le Kebel, nouveauté 2007, a pour spécificité d'être à mi-chemin entre un cadre aéro (comme le Kalibur) et un cadre classique voué à la légèreté (Kom). Quelques détails permettent de s'en convaincre. En regardant le vélo sur le côté, on remarque un design d'ensemble très profilé, allant jus qu'à un tube de selle équerré et un passage de roue arrière incurvé. Si le design aéro est incontestable, le souci de polyvalence l'est tout autant. Outre le serai sloping, l'importance des sections du tube diagonal et la hauteur imposante de la douille de direction ( 1»1/4 - 1»1/8 ) le révèlent.
Au toucher comme à la vue, le Kebel est beau. Normal, me direz-vous. Son nom vient de la contraction de l'expression italienne Que bello. La douce fibre carbone 12K brille de mile feux, faisant ressortir particulièrement les tubes diagonal et horizontal aux formes hexagonales. Parmi les détails qui impressionnent, outre la très belle fourche Slice, à noter vu de dessus le tube horizontal en forme de sablier. Au premier regard, le Kebel semble être un clone du célébrissime Kalibur pour un usage route (au regard de sa géométrie classique). Mes sorties confirment partiellement ce postulat.
Rapidement. je m «aperçois que le Kebel est facile à emmener et présente une sensation très douce au pédalage. Vous l'aurez compris, ce n'est pas un monstre de rigidité. Même si vous ne pourrez pas le pousser dans ses limites de rendement. vous ressentirez cependant une élasticité au niveau de la boite de pédalier. Si ce vélo est donc rigide, il n'est pas bridé. Quant au reste du cadre, rien ne bouge. L' élasticité constatée et le bridage des bases courtes arrières et du triangle avant font que le Kebel n'est pas nerveux, il est «« explosif n ! Pour reprendre un langage de funboard, il part au planning très facilement. Il répond à la moindre accélération. La fourche, très efficace, assure un pilotage sûr, quelles que soient les sollicitations.
Le léger flottement latéral confère une propulsion semblable à celui d'une godille sur une gondole. L'élasticité ressentie propulse le vélo vers l'avant. Les qualités motrices du Kebel s'expriment au mieux sur les parcours vallonnés et dans les relances en sortie de virage. Dans les bosses, il accepte tous les pédalages. Cependant, les plus véloces d'entre vous en tireront le meilleur profit, car vous optimiserez l'effet godille. Dans la même logique, le pédalage en danseuse procure des sensations grisantes. Un peu de danseuse, et hop, c'est reparti de plus belle. Outre les parcours vallonnés, le Kebel sera parfait pour les courses avec drafting ponctuées de relances. Les triathlètes qui font du triathlon et des courses cyclistes seront ainsi comblés.
Utilisable partout et sur toutes les distances, ce modèle ne souffre que d'un seul petit défaut. Son confort est perfectible. Le cadre filtre mal les vibrations verticales qui montent dans la selle. Des inserts d'élastomère dans le tube de selle pourraient être une solution.
Tel qu'équipé pour l'essai, avec notamment des Mavic Ksyrium ES, le prix de vente est très compétitif. Vous l'aurez compris, le Kebel s'adresse à tous. À défaut d'avoir les résultats d'un champion, vous aurez avec le Kebel, des sensations grisantes que les champions ressentent avec leur vélo aux comportements plus exclusifs.
Une marque peut elle avoir une philosophie ? C'est la question du mois. Je réponds oui en prenant l'exemple de Kuota. Comment comprendre autrement le succès d'un fabri cant né en 2001 ?L'entreprise était déjà présente dans le marché du vélo avec la fabrication des fourches Sintema. Cela n'explique pas tout.
Plutot que d'investir massivement dans le sponsoring d'équipes cyclistes profes sionnelles et des campagnes publicitaires, la société italienne a recherché sur le terrain des vecteurs de développement. Elle a notamment choisi le triathlon. Les frères Comalli, fondateurs de la marque, avaient saisi l'image forte véhiculée par ce sport. Kuota a ainsi soutenu et soutient toujours des triathlètes de renom, comme Normann Stadler, Javier Gomez?Noya ou en France Carole Péon, Cédric Fleureton
L'équipementier transalpin mise aussi sur un design novateur et une qualité finale avérée de ses produits. Il présente aussi une gamme pléthorique à même de séduire tous les besoins, les anciens modèles étant conservés volontairement. Et cela à des prix très compétitifs.
Le Kebel, nouveauté 2007, a pour spécificité d'être à mi-chemin entre un cadre aéro (comme le Kalibur) et un cadre classique voué à la légèreté (Kom). Quelques détails permettent de s'en convaincre. En regardant le vélo sur le côté, on remarque un design d'ensemble très profilé, allant jus qu'à un tube de selle équerré et un passage de roue arrière incurvé. Si le design aéro est incontestable, le souci de polyvalence l'est tout autant. Outre le serai sloping, l'importance des sections du tube diagonal et la hauteur imposante de la douille de direction ( 1»1/4 - 1»1/8 ) le révèlent.
Au toucher comme à la vue, le Kebel est beau. Normal, me direz-vous. Son nom vient de la contraction de l'expression italienne Que bello. La douce fibre carbone 12K brille de mile feux, faisant ressortir particulièrement les tubes diagonal et horizontal aux formes hexagonales. Parmi les détails qui impressionnent, outre la très belle fourche Slice, à noter vu de dessus le tube horizontal en forme de sablier. Au premier regard, le Kebel semble être un clone du célébrissime Kalibur pour un usage route (au regard de sa géométrie classique). Mes sorties confirment partiellement ce postulat.
Rapidement. je m «aperçois que le Kebel est facile à emmener et présente une sensation très douce au pédalage. Vous l'aurez compris, ce n'est pas un monstre de rigidité. Même si vous ne pourrez pas le pousser dans ses limites de rendement. vous ressentirez cependant une élasticité au niveau de la boite de pédalier. Si ce vélo est donc rigide, il n'est pas bridé. Quant au reste du cadre, rien ne bouge. L' élasticité constatée et le bridage des bases courtes arrières et du triangle avant font que le Kebel n'est pas nerveux, il est «« explosif n ! Pour reprendre un langage de funboard, il part au planning très facilement. Il répond à la moindre accélération. La fourche, très efficace, assure un pilotage sûr, quelles que soient les sollicitations.
Le léger flottement latéral confère une propulsion semblable à celui d'une godille sur une gondole. L'élasticité ressentie propulse le vélo vers l'avant. Les qualités motrices du Kebel s'expriment au mieux sur les parcours vallonnés et dans les relances en sortie de virage. Dans les bosses, il accepte tous les pédalages. Cependant, les plus véloces d'entre vous en tireront le meilleur profit, car vous optimiserez l'effet godille. Dans la même logique, le pédalage en danseuse procure des sensations grisantes. Un peu de danseuse, et hop, c'est reparti de plus belle. Outre les parcours vallonnés, le Kebel sera parfait pour les courses avec drafting ponctuées de relances. Les triathlètes qui font du triathlon et des courses cyclistes seront ainsi comblés.
Utilisable partout et sur toutes les distances, ce modèle ne souffre que d'un seul petit défaut. Son confort est perfectible. Le cadre filtre mal les vibrations verticales qui montent dans la selle. Des inserts d'élastomère dans le tube de selle pourraient être une solution.
Tel qu'équipé pour l'essai, avec notamment des Mavic Ksyrium ES, le prix de vente est très compétitif. Vous l'aurez compris, le Kebel s'adresse à tous. À défaut d'avoir les résultats d'un champion, vous aurez avec le Kebel, des sensations grisantes que les champions ressentent avec leur vélo aux comportements plus exclusifs.
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- Jigoro Kano
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- sam_niatira
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FICHE TECHNIQUE
Cadre : Kuota Race monocoque carbone 12K (1100 g)
Fourche: Kuota KSD monocoque 12 K (390 g)
Roues: Mavic Ksyrium ES
Pneus: Continental GP4000
Pédalier : Shimano Ultegra
leviers et étriers: Shimano tlltegra
Dérailleurs ; Shimano Uitegra
Cintre : Kuota Katch monocoque forme ergonomique
Potence : Kuota alu-carbone RST06
Tige de selle : Kuota aéro
Selle : Kuota Blaze arrowhéad
Coloris : noir / blanc / rouge
Poids: 7,3 kg environ (sans les pédales et le prolongateur)
Tailles disponibles : xs, s, m;1, xl, xxl
Garantie : 3 ans
Prix: 3686 euros (Dura Ace : 4135 euros) / Kit cadre: 1350 euros.
CONDITIONS DU TEST I
25 séances (de 50 km à 180 km, pour un total de l 700 km)
Détail qui fait la différence ?
La facilité d'utilisation.
Pour qui ? Pour tous les triathlètes!
Pourquoi?
A l'aise partout.
Les équivalences
Giant TCR Advanced ? Scott
CR1
LES PLUS
Très polyvalent
LES MOINS
Le confort
MES NOTES
Nervosité : 5 / 5
Rigidité: 4 / 5
Confort : 3.5 / 5
Rendement: 4. 5 / 5
Accessibilité : 5 / 5
Rapport qualité prix : 4,5 / 5
Cadre : Kuota Race monocoque carbone 12K (1100 g)
Fourche: Kuota KSD monocoque 12 K (390 g)
Roues: Mavic Ksyrium ES
Pneus: Continental GP4000
Pédalier : Shimano Ultegra
leviers et étriers: Shimano tlltegra
Dérailleurs ; Shimano Uitegra
Cintre : Kuota Katch monocoque forme ergonomique
Potence : Kuota alu-carbone RST06
Tige de selle : Kuota aéro
Selle : Kuota Blaze arrowhéad
Coloris : noir / blanc / rouge
Poids: 7,3 kg environ (sans les pédales et le prolongateur)
Tailles disponibles : xs, s, m;1, xl, xxl
Garantie : 3 ans
Prix: 3686 euros (Dura Ace : 4135 euros) / Kit cadre: 1350 euros.
CONDITIONS DU TEST I
25 séances (de 50 km à 180 km, pour un total de l 700 km)
Détail qui fait la différence ?
La facilité d'utilisation.
Pour qui ? Pour tous les triathlètes!
Pourquoi?
A l'aise partout.
Les équivalences
Giant TCR Advanced ? Scott
CR1
LES PLUS
Très polyvalent
LES MOINS
Le confort
MES NOTES
Nervosité : 5 / 5
Rigidité: 4 / 5
Confort : 3.5 / 5
Rendement: 4. 5 / 5
Accessibilité : 5 / 5
Rapport qualité prix : 4,5 / 5
"Plus l'ascension est longue, plus la montée est difficile
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Sans critiquer le moins du monde l'article je suis mort de rire en m'imaginant la tête d'OS et sa réaction quand il va lire :

Le léger flottement latéral confère une propulsion semblable à celui d'une godille sur une gondole. L'élasticité ressentie propulse le vélo vers l'avant.





Optimiser votre position vélo ?
http://www.velofitting.com
Il n'y a pas de chemin vers le bonheur, le chemin est le bonheur.
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