Pour moi, le seul argument de la crevaison pour le non passage au boyau ne tient pas. Celui de pas aimer le collage etc... ok mais la crevaisonkerploug a écrit :.
Je ne suis pas un super bricoleur et cela ne pas l'air super simple à réparer. En course tu crèves deux fois et c'est mort (sauf à avoir un sac à dos avec toi).
Un clou, c'est un clou et tu crèves aussi bien en boyaux qu'en pneu. Je ne me vois pas trop rester sur le bas coté de la route sur un Ironman (çà ne vous rappelle rien ?)
.Si tu fais référence à Stadler, la première fois il crève en boyau, il repart avec une roue (Mavic ?) à pneu et crève également et c'est là qu'il abandonne donc pas de conclusion à en tirer.
Sur IM, comme le dit Ptitbouchon, un boyau + 1 bombe type Pitstop et tu élimines déjà quasi toute chance de ne pas finir d'autant que tu peux, au pire, rouler crevé très bien avec un boyau (Olano CM 1995) ou en tout cas beaucoup mieux qu'avec un pneu. En outre, si tu crèves en course en pneu, il faut vérifier s'il n'y a pas caillou, vérifier de ne pas pincer la chambre, ne pas niquer la valve, et prier pour que le pneu ne soit pas atteint. Avec un boyau, tu le changes et c'est parti (ça me prend 2' contre 4-5' pour le pneu en faisant attention aux risques ci-dessus). Effectivement, je te concède volontiers qu'il faut un minimum d'habitude et de goût mécanique pour la pose du boyau (en course ou chez soi) mais rien ne justifie dans la pratique de penser qu'on ait plus de risque de ne pas finir un IM avec 1 boyau de rab + 1 bombe qu'avec 2 pneus, en comparant évidemment deux pneumatiques de mêmes caractéristiques et pas un boyau sur-fin avec un pneu triple kevlar avec bande anti-crevaison
. Enfin c'est mon humble avis.Nick
