pimprenelle a écrit :
non mais ce qu'il remettait en cause ce n'etait pas une question de temps mais une question de depassement de soi en fonction de son potentiel

Alors quand on part sur l'im d'hawai, on se doit de ne pas faire son footing sur le marathon...
On a donc pas le droit d'avoir une défaillance. Si au bout de 180kms de vélo, le triathlète commence à ressentir la fameuse barre " rouge " qui te font miroiter les p'tites étoiles, il se doit d'arrêter sur le champ car " çà ne le fait pas...."

Et parce que quelqu'un qui a eu sa qualif au tirage au sort ou de justesse, il ne devrait pas participer à une consécration s'il n'a pas le " niveau requis ":idea:

C'est sportif comme raisonnement çà, je crois pas...
En plus d'une niveaut, le sport d'endurance en général, c'est pas comme çà. Il y a le facteur X qui intervient toujours (l'alimentation, le climat, le relief, les sensations du moment, les pépins de course type crevaison...).
L'homme n'est pas une machine réglée sur " performance régulière", mais une synergie d'action et de réactions biologiques qui peuvent être mises à mal durant une course.
Après ce qui pousse le plus " téméraire " en absence de jus, c'est la motivation de son mental.
Heureusement qu'on a des hauts et des bas...
Donc PRO, amateur peuvent avoir une allure de "non marathon " au cours d'une couse, ce n'est pas propice qu'aux amateurs...
Ahhhh si le triathlon était une science exacte, je ne pense pas que le plaisir d'aller au bout de soi même éxisterait. Ce que j'aime dans le tri, c'est l'imprévu car on en ressort de l'expérience physiquement (pour planifier d'autres entraînements et pallier ces défaillances) et psychologiquement...
Temet Nosce...