- avant : le mouvement de la jambe de se fait devant et le pied attaque le sol dans le sens du mouvement : le coureur s'allège.
- arrière : le mouvement de la jambe se fait derrière et le pied attaque le sol dans le sens inverse au mouvement : le coureur s'allourdit.
J'avais déjà lu cela et n'y avait pas prêté attention, pensant qu'il s'agissait de concepts spécifiques à l'athlétisme et à du demi-fond ou sprint. Il parlait d'attaquer le sol par la plante et les coureurs de fond l'attaque par le talon.
Mais qu'elle n'a pas été ma stupéfaction, hier en courant quand j'ai repensé à cela.
Ma stupéfaction de voir que pour moi :L'article avait donné l'astuce :
- course devant : le pied glisse dans la chaussure du côté du talon.
- course arrière : le pied glisse dans la chaussure du côté des doigts de pieds (comme dans une descente raide ou l'on modère l'allure).
> 12-13 km/h : je cours devant, "le talon tire à l'attaque"
<12 km/h : je cours derrière, mon pied avance dans la chaussure...
J'ai tout de suite pensé à l'ironman...
ou je suis inférieur à 12-13 km/h...
Je n'ai jamais bien couru sur ironman... Et c'est vrai qu'en y repensant, je cours derrière sur ironman, alors que je cours toujours devant sur les courses plus courtes.
d'ou ma question :
Est-ce que ça vaut la peine de courir devant sur toutes les allures ?
J'ai remarqué qu'on arrivait, il suffit de penser à tirer avec le talon.
Y-a-t-il un gain énergénique, même à faible allure (je pense à l'ironman). ?