Sur la version féminine: A vaincre sans mérite, on triomphe sans gloire!
Les qualités athlétique de Juliette sont indiscutables et sa victoire ne saurait souffrir d'aucune contestation.
L'éthique en a par contre pris un coup avec le drafting caractérisé de la demoiselle à partir du 20ième km vélo. C'est dommage car, comme je le lui ai dit, elle n'a pas besoin de cela. Une belle victoire, à la pédale, eut eu plus de gueule!! Du panache quand c'est possible, diantre!
La deuxième athlète a quant à elle drafté du début à la fin. No comment. No respect.
Ce qui interpelle: ce sont les réactions de ces athlètes lorsqu'on leur signale ces comportements déviants. Les mêmes argumentaires habituels, sur lesquels je ne reviendrai pas. Ce qui m'interpelle personellement, c'est l'éducation de ces athlètes par leur club formateur.

La troisième, dont la naïveté pourrait approcher la bêtise dans un tel contexte, a respecté les règles. Cela j'en suis sûr et, croyez moi, ce n'est pas faute de lui avoir demandé de prendre les roues comme les autres.

Dèrrière les filles font leur course...comme elles peuvent, entourées qu'elles sont de pseudo-triathlètes dont le seul mérite est de se vanter d'avoir une licence pour un sport qu'ils ne pratiquent pas.
Quant à l'arbitre principal! Mes propos seraient diffamatoires donc je le garderai pour moi. Quid du briefing? quid de l'information de triathlètes quant aux règles pratiquées sur l'épreuve? Quid de la boucle de pénalité pour la poignée de trouduc qui a réussi à se faire choper (sans doute un arbitre véreux

Conclusion: un BEAU triahtlon, un superbe WE mais arrêtons la mascarade et
1) autorisons le drafting une fois pour toute
2) séparons les hommes des femmes par des départs décalés de 10 minutes (les femmes avant).
Merci messieurs/dames les organisateurs et entourez vous d'un coprs arbitral à la hauteur de votre talent d'organisation.