je precise c est mon 1er mais j ai pas peur
merci

Qu'entends-tu par "fatiguer" ?benjaminlandier a écrit :ça fatigue le tube digestif
Si fatiguant que çà de passer sur le trône ?? Qu'est-ce que c'est que ces athlètes fatigués du tube ? Du bulbe, oui !benjaminlandier a écrit :un bol alimentaire qu il faudra évacuer le lendemain et qui créra une fatigue supplémentaire
dem a écrit :Qu'entends-tu par "fatiguer" ?benjaminlandier a écrit :ça fatigue le tube digestif
Si fatiguant que çà de passer sur le trône ?? Qu'est-ce que c'est que ces athlètes fatigués du tube ? Du bulbe, oui !benjaminlandier a écrit :un bol alimentaire qu il faudra évacuer le lendemain et qui créra une fatigue supplémentaire
Les pâtes natures créent très peu de résidus de digestion puisqu'elles sont quasi entièrement digérées et absorées, à condition de les mâcher amoureusement. Quoi qu'il arrive, il faudra passer par les toilettes, de toute façon.
les réserves de glycogène se font dans la semaine avant et pas la veille au soir et encore moins le matin, au contraire il faut arriver leger sur la ligne de départ.
Tes 500 grammes de pates de la veille (avec du beurre en plus , et pourquoi pas de la daube!) tu vas te les promener pendant 42 kms à l'état de semi-caca, et tu risques avec la fatigue d'avoir des troubles intestiaux pendant la course.
De toutes façon ton reservoir de glycogéne (ta capacité à emmagasiner des reserves) est conditionnée par ton entrainement, et c'est pas parce que tu manges beaucoup que tu stockes beaucoup.
Sinon bon courage pour tes prochaines épreuves.
Ici, on site des quantités équivalentes à celles que je propose.
Là, on préconise l'absorption de 8-10g de glucides par jour dès et par kg de poids corporel dès J-3, soit 560 à 700g pour un athlètes de 70kg !!!
Je suis d'accord pour dire que le dernier repas doit être digeste, mais celui-ci est généralement pris entre 3 et 5 heures avant le départ de l'épreuve, c'est-à-dire le jour même.
Je suis sceptique quant à conseiller de manger léger la veille d'un marathon...
les réserves de glycogène se font dans la semaine avant et pas la veille au soir et encore moins le matin, au contraire il faut arriver leger sur la ligne de départ.dem a écrit :Qu'entends-tu par "fatiguer" ?benjaminlandier a écrit :ça fatigue le tube digestif
Si fatiguant que çà de passer sur le trône ?? Qu'est-ce que c'est que ces athlètes fatigués du tube ? Du bulbe, oui !benjaminlandier a écrit :un bol alimentaire qu il faudra évacuer le lendemain et qui créra une fatigue supplémentaire
Les pâtes natures créent très peu de résidus de digestion puisqu'elles sont quasi entièrement digérées et absorées, à condition de les mâcher amoureusement. Quoi qu'il arrive, il faudra passer par les toilettes, de toute façon.
Ici, on site des quantités équivalentes à celles que je propose.
Là, on préconise l'absorption de 8-10g de glucides par jour dès et par kg de poids corporel dès J-3, soit 560 à 700g pour un athlètes de 70kg !!!
Je suis d'accord pour dire que le dernier repas doit être digeste, mais celui-ci est généralement pris entre 3 et 5 heures avant le départ de l'épreuve, c'est-à-dire le jour même.
Je suis sceptique quant à conseiller de manger léger la veille d'un marathon...
Effectivement, on peut se poser la question.dino65 a écrit : avec du beurre en plus , et pourquoi pas de la daube!
Ce n'est pas moi qui suis engagé sur ce marathon.dino65 a écrit :tu vas te les promener pendant 42 kms
Un grand moment de solitude...dino65 a écrit :à l'état de semi-caca, et tu risques avec la fatigue d'avoir des troubles intestiaux pendant la course.
C'est juste.dino65 a écrit :De toutes façon ton reservoir de glycogéne (ta capacité à emmagasiner des reserves) est conditionnée par ton entrainement, .
Comment faire pour stocker beaucoup ?dino65 a écrit :et c'est pas parce que tu manges beaucoup que tu stockes beaucoup.
Merci pour tes encouragements.dino65 a écrit :Sinon bon courage pour tes prochaines épreuves.
C'est ce qu'on peut lire dans le bouquin de Riché Guide Nutritionnel des Sports d'Endurance. Le raisonnement repose sur un bon nombre d'études menées sur la recharge en glycogène. Si je n'en ai pas fait mention, c'est que je trouve la démarche beaucoup plus complèxe que celle qui consiste à ingurgiter sans compter des glucides dès J-3. Pourquoi ? Parce que quelques études et mes propres observations montrent que les préconisations nutritionnelles sont loin d'être respectées. Ingurgiter 500 à 600g de glucides par jour, c'est gigantesque. Pour avoir déjà essayer de faire coïncider les recommandations avec le contenu de mon assiette, j'ai constaté qu'il fallait vraiment se forcer. Ce qui ne sera pas le cas forcément de celui qui, sous prétexte qu'il se considère comme un amateur, pourrait se dire que manger quelques pâtes tous les soirs pendant trois soirs sera suffisant, ce qui constitue une erreur (de mon point de vue), d'autant plus si on a un boulot qui ne permet pas de manger régulièrement toute la journée. Donc je persiste en disant qu'il faut vraiment se sucrer dès J-3, avec gros plats de pâtes la veille au soir (au beurre, les pâtes, au beurre...) pour optimiser les réserves si l'on n'applique pas la stratégie Denis RICHE.pierre a écrit :Une fois j'avais assisté à une conférence de Denis Riché, éminent nutritionniste, qui expliquait que c'était essentiellement le jeudi soir et le vendredi soir quel'on créait ses réserves de glycogène. Il me semble qu'il avait dit de l'ordre de 40% le jeudi soir et 30% le vendredi soir (avec pour le reste du genre 20% sur mardi/mercredi et moins 10% le samedi soir). C'est donc pendant ces repas qu'il faut charger en hydrates de carbone. Cela rejoint l'avis de dino.