30 heures/semaine voire 35, ça fait 5-6 heures d'entrainement/jour : comme tout pro CD ou LD, c'est au minimum 1 h 30 dans l'eau, 1 h à 1 h 30 à pied et le reste sur le vélo, je schématise mais on n'est pas loin du compte.HE a écrit :tu as raison boulegan, mais ce qui m'étonne ce n'est pas les chronos sur les Ironman mais la dose d'entraînement qu'il faut s'infliger. 30/35 et parfois + pour certains, comment peut-on tenir?.
Le LD, y en a qui sont bâtis pour, d'autres non, ce n'est pas que psychologique, c'est morphologique. Y a des athlètes fragiles, et puis y a des bûcherons avec des tendons et des muscles en bois, capables de s'envoyer de gros volumes, proprement.
Ces types qui s'entraînent 30-35 H/semaine, ça ne court pas les rues quand même, ce sont des exceptions, leur hygiène de vie est impeccable, c'est triathlon à 99 % voire 100 %. C'est à prix qu'ils réussissent. Certains d'entre-eux pratiquent le sport depuis tout gosse, par exemple les nageurs, que les longues heures d'entraînements laborieuses ne rebutent pas.
Tiens, c'est bizarre, j'ai un ami qui a fait 9e à Hawaï en 2004, que je cotoie tous les jours depuis 11 ans, et qui ne m'a jamais tenu ce genre de proposHE a écrit :j'ai aussi une petite anecdote: un copain m'a dit un jour que pour rentrer dans les 10 à hawai il fallait être dopé. l'année suivante il faisait 9. Je ne suis sûr de rien mais je pense que lui était propre.
Non, on ne doit pas parler du même...
C'est bien la preuve IRREFUTABLE que c'est bcp plus tactique sur IM et bcp plus bourrin (=donc dopage) sur CD, non ? Ridicule comme raisonnement , n'est-ce-pas 
Messieurs : DU CALME ça se charge sur le court comme sur le long 
, du 200m sur piste au TdF en passant par la RAAM, y a des dopés 
