pour ou contre la monstress à Cublize?
- Ravenman
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- Localisation : Au Pays des Etangs et des Oiseaux
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pour ou contre la monstress à Cublize?
Hello, c'est l'Homme-Corbeau !
Je ne devrais pas intervenir, mais 'pas pu m'empêcher...
J'aime sans conditions la Sainte Côte, c'est moi qui l'ai baptisée et qui la décore en orange et vert chaque année...
Alors, pour vous aider à voter POUR, encore et toujours, relisez ci-après les proses des 3 dernières années.
Si ça ne vous donne pas de frissons, à moi, si !
Prose Monstress/TRI SAPIN 2005
A cet instant, devant toi,
La Sainte Côte s’élèvera.
Et les G.O. encore tu maudiras.
Mais malgré tout, ne t’en fais pas,
Saint Sapin sera toujours avec toi.
Marcher ou tenter de courir,
Là est la question,
Lorsqu’on se trouve au pied
De cette pente d’exception.
Enfer et damnation,
Ni l’ascenseur ni le tire-cul
Ne sont prévus en option.
Alors, faudra faire sans,
Que tu t’appelles Foucaut,
Legrix ou bien Laffont,
Que tu sois Corse, Ch’timi
Breton ou Normand,
Rillette ou bien Gilette,
Barbu et président,
Noir et jaune canari
Ou simple avocaillon !
A ton voisin de l’instant tu demanderas :
Euh, dis donc, la Monstress,
On en revient comment ?
Entier, rétamé, cuit,
Ou détruit pour la vie ?
Un autre, habitué des lieux,
Suppliera d’en bas :
« Ô Monstress chérie,
Si tu m’laissais courir
Jusqu’en haut cette fois-ci,
Ce s’rait vachement gentil ! »
La très belle, la terrible,
Accueillera cette année
Sur ses flancs
Un pèlerin à dossard,
Vêtu de noir et blanc,
A la marque du corbeau
Et du sapin souriant.
Il sera bien fourbu,
C’est prévu, attendu.
Hey, Raven,
T’en as rêvé, tu y es !
Puis le sommet arrive,
Et ouf, on redescend…
Avant d’y revenir.
Que c’est chouette d’être tri’
Au pays du Sapin qui sourit !
Ravenman
Prose Monstress/TRI SAPIN 2004
Saint Sapin t’a entendu quand tu disais :
« Dans la famille Sapin, je voudrais la Monstress. »
La belle, l’unique,
La cruelle, la mythique,
Asphalte redouté, pèlerinage attendu,
Quand tes petites gambettes ne te porteront plus,
Cette pente te montreras vers Saint Sapin la Voie,
Pour savoir qui tu es et de quoi tu es fait.
Dans un tour, dans une heure,
Tu la retrouveras, et à ce moment-là,
Sûrement tu diras :
« C’eût été judicieux de demeurer chez moi !
Car souffrir le martyre et les G.O. maudire,
Voici ce qu’il m’en coûte d’avoir choisi cette route. »
Mais Saint Sapin est là, tu le sais, tu le sens,
Et il te portera, mètre par mètre, pas après pas.
Le sommet, c’est bientôt, à portée de tes mains,
La douleur ne sera qu’un souvenir lointain…
Jusqu’au passage prochain !
Comme Cyrano tu diras :
« Cette côte est un roc, un cap, un pic, une péninsule ! »
C’est l’Amour le plus fort,
De la Nature, du Triathlon, ton sport.
Va comme le vent, alors…
L’auteur de cette prose,
Mais vous l’aviez compris,
Vous aime,
Comme tous ses amis de la Sapin Family.
Ravenman
Prose Monstress/TRI SAPIN 2003
Gloups, c’est bien elle !
Le Sapin souriant : « Niark, niark ! »
L’infâme traîtresse née de l’enfer des enfers,
Sainte Monstress la bien nommée.
Le Sapin souriant : « Oh, oouuiiiii ! »
Que Saint Sapin nous guide
Et nous délivre de la douleur
Que nos gambettes, elles ne supportent plus.
Saint Sauveur des triathlètes,
Hisse-nous vers la Croix des Bergers
Le Sapin souriant : « Tiens donc ! »
Prince de la forêt,
Porte-nous vers le sommet.
Le Sapin souriant : « Mais bien sûr ! »
Que le mal qui habite nos petites cuisses meurtries
Disparaisse à jamais.
Le Sapin souriant : « Faut pas rêver ! »
Saint Sapin, toi qui es notre copain,
Montre-nous le chemin.
Le Sapin souriant : « Et puis quoi encore ! »
Nous irons moins vite à vélo l’an prochain.
Le Sapin souriant : « Ca, j’vous l’avais dit ! »
Pardonne-nous, ô Saint Sapin.
Le Sapin souriant : « Bon…d’accord ! »
Et puis dis-nous, ô Saint Sapin,
La Monstress, elle monte quand ?
Le Sapin souriant : « Bientôt, mes enfants ! »
A ce moment, nous vîmes devant nous la croix,
Celle des Bergers,
Et nous nous sentîmes soudain
Bien moins fatigués.
Ô Saint Sapin chéri,
On te dit mille fois merci.
Le Sapin souriant : « Y’a pas d’quoi ! »
Et puis, ne t’inquiète pas,
On va rev’nir encore 2 fois.
Ô Saint Sapin,
La Monstress nous a fait du bien.
Et Saint Sapin leur dit alors :
« Ayez foi en mes piquants,
Qu’ils vous accompagnent le reste du temps.
Je vous aime. »
Le Sapin souriant : « A tout à l’heure ! »
Ravenman
Je ne devrais pas intervenir, mais 'pas pu m'empêcher...
J'aime sans conditions la Sainte Côte, c'est moi qui l'ai baptisée et qui la décore en orange et vert chaque année...
Alors, pour vous aider à voter POUR, encore et toujours, relisez ci-après les proses des 3 dernières années.
Si ça ne vous donne pas de frissons, à moi, si !
Prose Monstress/TRI SAPIN 2005
A cet instant, devant toi,
La Sainte Côte s’élèvera.
Et les G.O. encore tu maudiras.
Mais malgré tout, ne t’en fais pas,
Saint Sapin sera toujours avec toi.
Marcher ou tenter de courir,
Là est la question,
Lorsqu’on se trouve au pied
De cette pente d’exception.
Enfer et damnation,
Ni l’ascenseur ni le tire-cul
Ne sont prévus en option.
Alors, faudra faire sans,
Que tu t’appelles Foucaut,
Legrix ou bien Laffont,
Que tu sois Corse, Ch’timi
Breton ou Normand,
Rillette ou bien Gilette,
Barbu et président,
Noir et jaune canari
Ou simple avocaillon !
A ton voisin de l’instant tu demanderas :
Euh, dis donc, la Monstress,
On en revient comment ?
Entier, rétamé, cuit,
Ou détruit pour la vie ?
Un autre, habitué des lieux,
Suppliera d’en bas :
« Ô Monstress chérie,
Si tu m’laissais courir
Jusqu’en haut cette fois-ci,
Ce s’rait vachement gentil ! »
La très belle, la terrible,
Accueillera cette année
Sur ses flancs
Un pèlerin à dossard,
Vêtu de noir et blanc,
A la marque du corbeau
Et du sapin souriant.
Il sera bien fourbu,
C’est prévu, attendu.
Hey, Raven,
T’en as rêvé, tu y es !
Puis le sommet arrive,
Et ouf, on redescend…
Avant d’y revenir.
Que c’est chouette d’être tri’
Au pays du Sapin qui sourit !
Ravenman
Prose Monstress/TRI SAPIN 2004
Saint Sapin t’a entendu quand tu disais :
« Dans la famille Sapin, je voudrais la Monstress. »
La belle, l’unique,
La cruelle, la mythique,
Asphalte redouté, pèlerinage attendu,
Quand tes petites gambettes ne te porteront plus,
Cette pente te montreras vers Saint Sapin la Voie,
Pour savoir qui tu es et de quoi tu es fait.
Dans un tour, dans une heure,
Tu la retrouveras, et à ce moment-là,
Sûrement tu diras :
« C’eût été judicieux de demeurer chez moi !
Car souffrir le martyre et les G.O. maudire,
Voici ce qu’il m’en coûte d’avoir choisi cette route. »
Mais Saint Sapin est là, tu le sais, tu le sens,
Et il te portera, mètre par mètre, pas après pas.
Le sommet, c’est bientôt, à portée de tes mains,
La douleur ne sera qu’un souvenir lointain…
Jusqu’au passage prochain !
Comme Cyrano tu diras :
« Cette côte est un roc, un cap, un pic, une péninsule ! »
C’est l’Amour le plus fort,
De la Nature, du Triathlon, ton sport.
Va comme le vent, alors…
L’auteur de cette prose,
Mais vous l’aviez compris,
Vous aime,
Comme tous ses amis de la Sapin Family.
Ravenman
Prose Monstress/TRI SAPIN 2003
Gloups, c’est bien elle !
Le Sapin souriant : « Niark, niark ! »
L’infâme traîtresse née de l’enfer des enfers,
Sainte Monstress la bien nommée.
Le Sapin souriant : « Oh, oouuiiiii ! »
Que Saint Sapin nous guide
Et nous délivre de la douleur
Que nos gambettes, elles ne supportent plus.
Saint Sauveur des triathlètes,
Hisse-nous vers la Croix des Bergers
Le Sapin souriant : « Tiens donc ! »
Prince de la forêt,
Porte-nous vers le sommet.
Le Sapin souriant : « Mais bien sûr ! »
Que le mal qui habite nos petites cuisses meurtries
Disparaisse à jamais.
Le Sapin souriant : « Faut pas rêver ! »
Saint Sapin, toi qui es notre copain,
Montre-nous le chemin.
Le Sapin souriant : « Et puis quoi encore ! »
Nous irons moins vite à vélo l’an prochain.
Le Sapin souriant : « Ca, j’vous l’avais dit ! »
Pardonne-nous, ô Saint Sapin.
Le Sapin souriant : « Bon…d’accord ! »
Et puis dis-nous, ô Saint Sapin,
La Monstress, elle monte quand ?
Le Sapin souriant : « Bientôt, mes enfants ! »
A ce moment, nous vîmes devant nous la croix,
Celle des Bergers,
Et nous nous sentîmes soudain
Bien moins fatigués.
Ô Saint Sapin chéri,
On te dit mille fois merci.
Le Sapin souriant : « Y’a pas d’quoi ! »
Et puis, ne t’inquiète pas,
On va rev’nir encore 2 fois.
Ô Saint Sapin,
La Monstress nous a fait du bien.
Et Saint Sapin leur dit alors :
« Ayez foi en mes piquants,
Qu’ils vous accompagnent le reste du temps.
Je vous aime. »
Le Sapin souriant : « A tout à l’heure ! »
Ravenman
Raven’s child is our constant companion/Sticks like a shadow/To all that is done/Try as we may/We just can’t escape him/The source of our sorrow and shame/We are one (John Denver)
- brain dass
- Messages : 879
- Inscription : 29 mai 2005, 14:32
bien evidement pourn,, mais la monstress jusqu'au bout par jusqu'au 1er troncon (stp !!!!!!!), celle qui te fais redescendre par le sous bois-------------
comme lors des premieres edtions en fait !
bref, 154 789 521 456 252 % POUR la monstress, car le trisapin sans la monstresse ben c plus le trisapin, c un peu comme le trisapin sans le col du pavillon----etc----etc !!!!
phil le retour !!!!!
comme lors des premieres edtions en fait !
bref, 154 789 521 456 252 % POUR la monstress, car le trisapin sans la monstresse ben c plus le trisapin, c un peu comme le trisapin sans le col du pavillon----etc----etc !!!!
phil le retour !!!!!

Ahh oui c'etait bien .... dur !!!! Le faux-plat interminable jusqu'en haut .... et la descente terrible, presque plus dure !phil on the air a écrit :bien evidement pourn,, mais la monstress jusqu'au bout par jusqu'au 1er troncon (stp !!!!!!!), celle qui te fais redescendre par le sous bois-------------
comme lors des premieres edtions en fait !


Le bon temps !!


Comme le parcours a pied qui passait derrière la ferme au bout du lac !!!



L'ironman est une grande leçon d'humilité (M. Allen)
Pour bien sûr!
LAC de CHOUR contre la montre... aller on y va
"quand il aura péché le dernier poisson, coupé le dernier arbre et souillé le dernier ruisseau, l'homme se rendra compte que l'argent n'est pas comestible" (indien maowok)
"quand il aura péché le dernier poisson, coupé le dernier arbre et souillé le dernier ruisseau, l'homme se rendra compte que l'argent n'est pas comestible" (indien maowok)