Bonjour à tous,
Je traverse en ce moment une période compliquée liée à des troubles alimentaires, et je me demande comment concilier ça avec la pratique du triathlon. J’ai remarqué que la fatigue, la sensibilité au froid et les difficultés à récupérer sont vraiment un frein pour l’entraînement. Comment gérer tout ça sans se faire encore plus de mal ? Si quelqu’un a déjà eu ce genre d’expérience ou des conseils, je suis preneur.
Merci !
Anorexie et triathlon, quelle gestion possible ?
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Thierry *OnlineTri*
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Re: Anorexie et triathlon, quelle gestion possible ?
Très délicat de te répondre à distance.
C'est encore moins simple car le triathlon, comme bcp de discipline d'endurance, n'est pas sans présenter ses propres challenges et être parfois source de TAC!
1. La dépense énergétique est (très) élévée, il est parfois difficile pour un athlète (même sans TAC) de couvrir ses besoins!
2. Il y a un bénéfice à être léger, l'athlète se percevra comme "affuté" et mettra ses difficultés sur le compte de la charge d'entrainement.
3. Le triathlète est souvent mis dans une situation où les entrainements sont doublés voir triplés dans la journée ce qui demande une gestion énergétique particulière.
Contrairement à des disciplines comme le bodybuilding où il est intégré que la nutrition fait partie à 100% de la performance, c'est -très- loin d'être le cas dans les sports d'endurance. Combien d'entre nous connaissent les kcals ils consomment par jour et sur quelle répartition de macros?
Le paradoxe est que cela est encore un plus grand challenge pour celui/celle qui veut manger "sainement" en s'éloignant des produits ultra-transformés. L'alimentation est alors moins dense caloriquement et on a l'estomac bien rempli avant même d'avoir eu suffisament d'énergie
...
Un podcast que j'écoutais pas plus tard qu'hier effleure le sujet (malgré ses 3+h!), il n'y est pas question de TAC même s'il en est fait mention, juste des challenges pour trouver la juste alimentation :
Pour ce qui est des TAC, Manon Genet fait partie des rares triathlètes à ouvertement en parler. Un podcast parmi d'autres :
https://goodpods.com/fr/podcasts/ultra- ... t-34855454
C'est encore moins simple car le triathlon, comme bcp de discipline d'endurance, n'est pas sans présenter ses propres challenges et être parfois source de TAC!
1. La dépense énergétique est (très) élévée, il est parfois difficile pour un athlète (même sans TAC) de couvrir ses besoins!
2. Il y a un bénéfice à être léger, l'athlète se percevra comme "affuté" et mettra ses difficultés sur le compte de la charge d'entrainement.
3. Le triathlète est souvent mis dans une situation où les entrainements sont doublés voir triplés dans la journée ce qui demande une gestion énergétique particulière.
Contrairement à des disciplines comme le bodybuilding où il est intégré que la nutrition fait partie à 100% de la performance, c'est -très- loin d'être le cas dans les sports d'endurance. Combien d'entre nous connaissent les kcals ils consomment par jour et sur quelle répartition de macros?
Le paradoxe est que cela est encore un plus grand challenge pour celui/celle qui veut manger "sainement" en s'éloignant des produits ultra-transformés. L'alimentation est alors moins dense caloriquement et on a l'estomac bien rempli avant même d'avoir eu suffisament d'énergie
...Un podcast que j'écoutais pas plus tard qu'hier effleure le sujet (malgré ses 3+h!), il n'y est pas question de TAC même s'il en est fait mention, juste des challenges pour trouver la juste alimentation :
Pour ce qui est des TAC, Manon Genet fait partie des rares triathlètes à ouvertement en parler. Un podcast parmi d'autres :
https://goodpods.com/fr/podcasts/ultra- ... t-34855454
thierry @ onlinetri.com
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