cyptri a écrit : 14 janv. 2023, 08:32
L'intérêt? c'est de bien montrer que les partisans du confinement étaient complètement à côté de la plaque...(comme le disait Raoult, "le charlatan", au passage...) voire qu'ils ont fait beaucoup de dégats...??? C'est clair que c'est plus facile de dire "ouai, mais bon, c'est le passé, on peut pas le refaire, bla bla bla"...
(triplette, t'as rien de mieux que "c'est un troll"? un truc plus sexy genre "homophobe", "antisemite", "fachosphere", etc...?

" un truc à la mode, quoi...t'es un peu trop début du siècle là, en termes d'arguments bidons...)
ps : et concernant l'Ukraine, c'est en cours ,hein...loin d'être fini...(pour info).
Limiter les inter-actions sociales permet de limiter la contagion au sein d'une population pour une maladie contagieuse évidemment.
Suivant les modes de contagion, la façon de limiter les inter-actions peut différer.
Pour le SIDA par exemple, on peut prescrire l'abstinence ou la capote.
Pour le COVID, il y a avait un panel de mesures :
- fermeture des lieux de rencontre (cinémas, salle de sport, centre commerciaux) ;
- interdiction des rassemblements privés à domicile
- assignation à résidence
Je n'utilise pas le terme "confinement" (ou lockdown) car ce terme est utilisé de manière générique pour désigner un ensemble de mesures sans faire de distinguo. C'est un terme gloubi-boulga.
L'assignation à résidence était-elle nécessaire et efficace ? Clairement non.
Mais là dessus, on peut remercier les vieux du conseil constitutionnel qui, dès le 1er "confinement", ont décrété qu'on pouvait assigner à résidence les gens mais pas leur interdire de se rassembler. D'autres pays ont eu une autre vision.
D'autant que le droit de se réunir est certes un droit inaliénable mais qui doit aussi s'apprécier à la lueur des nouvelles technologies. Le conseil constitutionnel aurait aussi pu dire que le droit de se réunir pouvait se poursuivre de manière dématérialisé...
Ah, on me dit à l'oreille que les vieillards du conseil constitutionnel n'y connaissent rien aux nouvelles technologies.
Ce sont les limites de notre gérontocratie.