Bardamu a écrit : 15 juil. 2021, 11:12
Il faut juste se souvenir qu'il n'y a pas si longtemps, quand certains parlaient de traitement, on les traitait de charlatans, de fous, voire de criminels.
On a traité de charlatans ceux qui défendaient un traitement qui n'a pas fait ses preuves. Et on a eu raison puisqu'on sait maintenant que la chloroquine ne marche pas. Je n'ai entendu personne affirmer "fin de partie" avec l'Ivermectine, ni personne traiter de charlatan ceux qui font des essais dessus. Le doute existe encore, donc attendons.
A l'époque, le confinement était la panacée et tout doute émis sur cette méthode d'un autre âge initiée par le plus puissant des Etats totalitaires du XXIème siècle, était considéré comme quasi criminel.
Oui, là aussi on a eu raison: à l'époque on n'avait ni masque ni test ni connaissances sur cette maladie, le confinement était la meilleure solution, et ceux qui ont essayé autre chose (l'Angleterre, la Suède), ont changé d'avis.
Moi je constate que pendant un an, on a hystérisé un débat et que, le temps faisant son œuvre, on découvre petit à petit que cette "hystérisation" était disproportionnée et erronée.
Qui hystérise le débat ? Ceux qui disent qu'il faut écouter les scientifiques ou ceux qui disent qu'on vie en dictature ?
Aujourd'hui on est dans une situation d'hystérie un peu comparable mais sur un autre sujet : Le vaccin.
Les Hystériques du vaccin (qui étaient souvent aussi les hystériques du confinement) refusent tout autant d'écouter toute parole critique (qu'ils assimilent à des antivax-hier les anti-confinement étaient des "complotistes"-).
Les "hystériques" du vaccin ne comprennent tout simplement pas comment on peut continuer à douter alors qu'à part quelques charlots sur Youtube, tout le monde dit que ça marche.
Plus ça va, plus on voit que les hystériques (même drapés dans leur toge de scientifique), assénaient, de façon péremptoire, des conneries. C'est donc qu'ils étaient davantage dans la croyance que dans le raisonnement scientifique qui doit toujours prendre en considération le doute ; doute qu'ils refusaient en bloc.
Nous verrons demain ou après-demain ce qu'il en est pour le vaccin...
Ben, demain, comme pour tout le reste ou tu as "douté" pour rien, tu vas passer pour un con !