Boulegan a écrit : 19 nov. 2020, 10:52
FAYARD a écrit : 19 nov. 2020, 10:44
Et tout cela sous la gauche
Quelle gauche ?
Celle de Hollande qui a signé un chèque en blanc aux patrons (surtout aux grands patrons) avec le CICE qui nous a déjà couté 140 milliards € pour à peine 100 000 embauches sur les 2 millions prévues ?
(on a eu un petit débat sur OT sur un autre topic, il y a un mois je crois...

)
Si on analyse finement les politiques dites droite ou gauche ou ni droite ni gauche, il n'y pas de différence de fond, un peu sur la forme, bcp sur la parole. infinitésimal pour les actes.
Aucune remise en question sur le fond de quoique ce soit et mesures qui vont toutes dans la même direction, éducation ( tant le fond que le contenu), politique étrangère, surveillance, tjr autant de monde vivant dehors ;
Hollande c'ets un type qui doit on le répéter palpe 30.000 e de retraite par mois, qui a savamment cumulé tous les postes pour en arriver là, qui n'ajamais produit 1 € de richesse pour le pays ; qui met ses biens en Sci etc ; PS c'est une posture, desdiscours, dans les actes et les faits, pas mieux, pas pire.
le jour ou j'entendrais un politique dire qu il faut changer en profondeur le contenu éducationnel, la manière de l'enseigner, la forme d'évaluation des connaissances, ça sera un bon début ; hors ces messieurs ne raisonnent qu en terme de nombres : de prof, d'élèves par classes, de % de réussite au bac etc.
il y a des penseurs qui décortiquent ça mais on est encore a des années lumières. Regardez comment on enseigne les math dans les pays asiatiques.
"Quand les sociétés fourniront à chaque individu, dès le plus jeune age, puis toute sa vie durant, autant d'informations sur ce qu'il est, sur les mécanismes qui lui permettent de penser, de désirer, de se souvenir, d'être joyeux ou triste, d'être calme ou angoissé, furieux ou débonnaire, sur les mécanismes qui lui permettent en résumé de vivre, de vivre avec les autres, quand elles lui donneront autant d'informations sur cet animal curieux qu'est l'homme qu'elles s'efforcent depuis toujours de lui en donner sur la façon la plus efficace de produire des marchandises, la vie quotidienne de cet individu aura la chance d'être transformée." Henri Laborit
" une angoisse qui se cramponne au ventre de tout homme (...), l'angoisse de la mort, demeure toujours présente malgré les efforts faits par les sociétés productivistes pour la faire oublier, car elle risque de diminuer la productivité. (...) Les jeux du cirque banalisés, la pseudo-liberté des vacances incrustée dans la vie journalière, les divertissements innombrables, du plus banal au plus sophistiqué, tentent de faire oublier que la mort est au bout de cette vie sans signification -autre que de recevoir un salaire pour subsister, et acquérir non seulement des biens répondant aux besoins fondamentaux, mais aussi ceux répondant aux besoins acquis, ceux que la publicité a fait naitre, aussi exigeants maintenant que les premiers"