A vouloir détruire le service public.Thierry *OnlineTri* a écrit : 12 mars 2020, 14:00 Désolé pour le fait qu’il s’agisse d’un article en anglais.
Si pour la majorité d’entre nous le coronavirus n’est pas vraiment une menace, il faut comprendre son impact sur la chaîne de soin, le cas italien est édifiant... Selon cet article, ils sont obligés de choisir entre qui sauver et qui laisser mourir...
http://on.theatln.tc/rPWoleC
T.
Mais tu sais ceux qui prennent la décision de réduire et détruire le service public, acquis sociaux et tout le tralala sont très bien protegés et soignés, ceux qui payent les pots cassés sont tjr les mêmes, le peuple, ceux là pour qui ces chers dirigeants disent qu'ils font tout pour nous

cette situation est symptomatique de la situation politique, médiatique, économique.
La question qu'il faut tjr se poser c'est : Qui tire profit de cette situation? Pourquoi en parler autant, pourquoi faire peur, qui a a y gagner et a y perdre économiquement? Bien sur les gvts ( ceux qui sont derrière, les dirigeants sont des pions interchangeables qui appliquent la même politique, avec des postures de façades qui donnent l'illusion de choix pour le peuple, en tirent partis, du pain béni, ici pour les retraites en voie de privatisation ( pas à pas, doucement mais surement )
l'humain et la santé publique ( et le service public en général qui est détrui a petit feu) ils en ont rien à foutre, ça coûte cher, rapporte rien, ils donnent juste l'illusion que ( Sinon il y a bien des mesures comme sur l'alimentation qui seraient prises ). Mais ça viendra, le jour on la santé sera complètement monétiser et privatiser : retraite, mutuelle, sécu, hôpitaux, doucement mais surement on s'y dirige.
on pourrait parler de la crise financière qui se profile, qui va profiter tjr aux mêmes :
1er avantage : ça permet de licencier a tout va, et baisser les salaires.
Aucun danger pour les banques, puisque les "états" les renflouent avec notre pognon, argent public, ce qui créé la dette, ce qui donne le 2ème avantage : pour rembourser cette fameuse dette dûe à l'argent donnée et pas prêtée aux banques privées, moyen génial pour les les états de nous imposer encore plus, nous sucrer encore plus nos avantages sociaux, et nos services public,donc de privatiser ; également maintenir des salaires bas ( plus de profit ) avec un taux de chômage important,( précarisation) etc, la liste est longue.
Tout benef pour les grands de ce monde.