Je n'ai aucune idée d'où il était dans le flux des athlètes... mais effectivement ça questionne
J'aimerais ajouter quelque chose à propos de cet accident qui me rend pensif. Pendant que j'étais dans le fossé seul en France, aucun des triathlètes ne s'est arrêté et s'est occupé de moi. Tous, et il y en a eu quelques-uns, n'ont fait que passer. Je ne comprends pas. Il ne s'agit pas de vie et de mort dans une course, et même la qualification d'Hawaï n'est pas le paradis sur terre. Pensez-y la prochaine fois quand quelqu'un a besoin d'aide.
original:
I would like to add something to the accident that makes me thoughtful. While I was lying in the ditch alone in France, not one of the triathletes stopped and took care of me. All, and there were quite a few, just drove by. I can't understand. It's not about life and death in a race, and even the Hawaii qualification is not heaven on earth. Please think about it the next time when someone needs help.

Face à un concurrent à terre esseulé le bon sens voudrait qu'un arrêt s'impose non

Il y a aussi la copie des comportements un passe sans s'arrêter, ceux derrière l'imite... il n'est pas évident d'avoir un comportement différent de celui d'un groupe. Focalisé dans leur course ou sur la route, certains n'ont peut-être pas vu le blessé. Si j'en juge au nombre d'athlètes qui font coucou à la caméra difficile d'imaginer que tout le monde est à la limite de ses capacités sur de telles courses.
Si vous chutez et avez besoin d'aide : appelez à l'aide, ne comptez pas sur "la foule" pour venir d'elle même. c'est même parfois mieux d'interpellé qq en particulier dans une foule (ça casse l'effet de diffusion de responsabilité, la personne c'est que c'est à elle qu'on s'adresse et non au groupe en entier).
T.