3- considerer qu il y a une erreur donc quand meme sanctionnable, mais pas de volonte manifeste de tricher... un petit arrangement entre amis quoi, qui fait qu on te mets 6 mois parce qu on ne peut pas rien faire a propos du controle a la vuelta, mais comme ca on ne touche a rien d autre de majeur.abdo_kassou a écrit : 27 mai 2018, 16:00 A mon avis, l'UCI n'a que deux alternatives:
1- le suspendre deux ans en vertu des lois anti dopage, le fait qu'il ait couru pouvant être considéré comme une circonstance aggravante, histoire d'éviter que ce genre de situation ne se renouvelle (la prochaine fois, le gars négociera une suspension aménagée en plaidant coupable comme aux US)
2- rien, trop de flou, bref je laisse le soin aux avocats de justifier cet "accident", et l'UCI espère s'en tirer comme ça
Et peut-être une 3éme solution, une suspension d'un an à compter du moment de la décision + déclassement de la Vuelta, mais ça me semble tiré par les cheveux
Dans tous les cas, faire 2 derriere un coureur qu un controle positif aurait du ecarter, ou gagner sur tapis vert des mois apres la course, le perdant dans l histoire c est dumoulin. Ca devient insupportable ces histoires a rallonge. Il faudrait vraiment trouver une solution pour raccoucir ces procédures. Ou que le coureur soit suspendu en attendant. C est dommage pour celui qui est ensuite blanchi et aura perdu un temps. Mais c est un aleas au meme titre qu une chute ou une blessure grave. Et ca fera toujours moins de mal au global que de vivre ces situations. Sans compter que le coureur est le plus souvent reconnu coupable a la fin, donc les cas ou un coureur aura ete lésé seraient tres rares