Toutes les fédés ou entreprises sportives se déclarera contre le dopage, ça tombe sous le sens. Lutter efficacement contre le dopage par contre est complètement autre chose... c'est tout le paradoxe. Cela vaut y compris pour l'AMA, le docteur Alain Garnier (ancien directeur médical de l'agence) déclarait ainsi : "les préocupations de l'AMA ne pas de lutter contre le dopage, mais de le gèrer afin qu'il ne nuise pas au sport" (Sport & Vie, Septembre Octobre 2017). Ca pique un peu de lire ça forcement mais c'est conforme à ce que l'on observe partout. Pour espérer que les choses changent il faut regarder sur ce qui pourrait mettre la pression à la WTC pour agir de façon plus systématique et à quels nouveaux risques/coûts elle s'exposerait. Dire que le "dopage c'est pas bien" n'est pas suffisantclaude a écrit : 02 oct. 2017, 15:20 Certes mais la WTC n'est quand même pas si indépendante de l'ITU que ça (il me semble même avoir lu ici même qu'il y a eu rapprochement récemment entre les deux), et elle doit quand même je suppose respecter les règlements de l'ITU, y compris ceux sur le dopage ?
Ou alors il faut faire 2 fédérations totalement séparées avec 2 licences à prendre si on veut faire et du court et du long dans la même saison...???

Le drafting c'est factuel et tu prends les gens en flagrant-délit. Cela ne mène à aucun procès, l'arbitre est souverain.Thierry *OnlineTri* a écrit : 02 oct. 2017, 14:37 Les deux sont nécessaires... mais le dopage des concurrents (ou comme on l'a vu dernièrement la motorisation des vélos) laissent des traces analysables ou expertisables... le drafting c'est beaucoup plus fugitif, ça ne laisse pas de traces tangibles... et un arbitre tous les 500 m sur un IM, ça ferait des centaines d'arbitres... à trouver, recruter, former, véhiculer pendant la course...
T.