Poissy, ça serait un seïsme force 10 pour le tri en France et la FFTRI.
Sartrouville c'est aussi 100 adhérents qui tournent en idf et sur pas mal de tri "courru" en France (nature man, xterra). Un club normal.
Poissy, ça serait un seïsme force 10 pour le tri en France et la FFTRI.
TCG 79smoyoyo a écrit : 24 nov. 2017, 23:45 et cette fameuse top équipe D1 qui ferait forfait c'est qui ? je mise sur Sartrouville !
Comme on dit, les promesses n'engagent que ceux qui y croient... Dans une fédé, louvoyer est souvent plus payant qu'avancer.IRONMAN04 a écrit : 27 nov. 2017, 17:51 Des élections ont eu lieu voilà quelques mois, un « nouveau » président élu, des axes de développement proposés,,,, et à ce jour je ne vois pas grand chose arriver. Les « appuis » du président élu ne se manifestent plus pour nous expliquer la direction prise par la FFTRI......
2018 est l’annee de l’alignement des ligues sur les régions administratives et ça peut être compliquer dans certaines.......
J'ai un peu peur quand j'entends que la fédé est organisatrice de quelque chose. Généralement ça termine en beau déficit que l'on cache sous le tapis et que l'on fait payer aux licenciés... (cf. Triathlon de Paris & Cie)IRONMAN04 a écrit : 27 nov. 2017, 17:51 Pourquoi ne pas revenir à des GP D1 avec montées et descentes un peu à l’image de ce qu’il se fait actuellement, mais avec des clubs composés de triathletes français essentiellement, avec par ex 2 étrangers maxi. Les partenaires locaux pourraient alors médiatiser sur des têtes connues régionalement, voire au niveau national.... En parallèle, la FFTRI prendrait (se proposerait pour) une épreuve WTS pour exister et briller à l’international. Normalement, le coût de fonctionnement de ces « teams » serait moins élevé,,,, et la FFTRI serait responsable de « monter » l’epreuve WTS et faire ses preuves......
Baudrant enlèverait son équipe alors qu'il est dans les proches du new président rééééééélu... je me marre. Bizarre qu'il n'est pas appelé ses potes de la Nouvelle République ou Courrier de l'Ouest pour se faire mousser comme à son habitude ! Bref.
Ne pas oublier qu'a l'époque c'etait surtout animer par des jeunes qui tournaient fort, ici. Ils ont peut être aussi changer de médias...Thierry *OnlineTri* a écrit : 27 nov. 2017, 14:53 La réalité est la D1 ne parvient même pas à intéresser les pratiquants de la discipline (preuve en est l'absence de discussion sur ce sujet sur le forum et le fait que ce fil soit relativement calme...).
- Le grand public ne s'interesse au tri qu'avec des stars d'autres sports, sur des défis de leur temps (Jalabert, Armstrong). Le seul qui arrive à presque dépasser son sport c'est Alistair Brownlee, et encore en Angleterre (2eme en 2016, vote sportif BBC, suite à second titre olympique et sa finale de Cozumel). Et encore, c'est principalement l'histoire des deux frangins qui gagnent tout qui retient l'attention outre-manche.Thierry *OnlineTri* a écrit : 27 nov. 2017, 14:53 -Comment dans ces conditions imaginer que cela puisse intéresser le grand public?
-Les chaines sports diffusent elles du triathlon pour l'audience que cela génère ou pour remplir leur grille de programme à moindre coût?
-En 15 ans ou 20 ans d'existence du grand prix ce sont quelques millions d'euros qui ont été engloutis, qu'en a-t-on gardé?
-Si le GP a failli à créer de l'audience alors que le gratin du triathlon mondial était présent peut-on espérer qu'il le fasse avec des athlètes de calibre moindre?
- Quels sont les objectifs de la D1 pour un club, un organisateur, la fédé et peut-être aussi pour les médias et les athlètes?
- Quels sont les intérêts communs et ceux qui s'opposent?
- D'où vient l'argent qui fait tourner la D1 -hier, aujourd'hui & demain-?
Changer la formule de course, c'est comme remettre une couche de peinture sur une maison sans fondation... hormis rendre plus aléatoire le résultat final et fragiliser un peu plus les clubs, qu'est ce que cela va changer sur le fond?
On se mord la queue, tu n'auras aucun sponsor sans visibilité. La visibilité tu l'as soit par le nb de pratiquants mais également et surtout par une tête d'affiche ! Fourcade au biathlon, Lamy Chappuis au saut ski, résultats EdF hand (car personne regarde clubs), Rinner au judo... sans cela, tu peux faire ce que tu veux, c'est mort dans l'oeuf.Blackstar a écrit : 28 nov. 2017, 12:06 Ce n'est pas que sur la diffusion que ça se joue, aussi sur le terrain.
Quand je vois les ligues où je suis passé, c'est la tristesse : Limousin : plus aucun CTL et un travail baclé depuis des années (aucun travail de fond dans les clubs, aucune détection etc.), la Bretagne : la c'est carrement les instances dirigeante qui ont fait barrages il y a quelques années au plus gros club formateur (OC Cesson), etc.
Ne pas oublier qu'a l'époque c'etait surtout animer par des jeunes qui tournaient fort, ici. Ils ont peut être aussi changer de médias...Thierry *OnlineTri* a écrit : 27 nov. 2017, 14:53 La réalité est la D1 ne parvient même pas à intéresser les pratiquants de la discipline (preuve en est l'absence de discussion sur ce sujet sur le forum et le fait que ce fil soit relativement calme...).
- Le grand public ne s'interesse au tri qu'avec des stars d'autres sports, sur des défis de leur temps (Jalabert, Armstrong). Le seul qui arrive à presque dépasser son sport c'est Alistair Brownlee, et encore en Angleterre (2eme en 2016, vote sportif BBC, suite à second titre olympique et sa finale de Cozumel). Et encore, c'est principalement l'histoire des deux frangins qui gagnent tout qui retient l'attention outre-manche.Thierry *OnlineTri* a écrit : 27 nov. 2017, 14:53 -Comment dans ces conditions imaginer que cela puisse intéresser le grand public?
-Les chaines sports diffusent elles du triathlon pour l'audience que cela génère ou pour remplir leur grille de programme à moindre coût?
-En 15 ans ou 20 ans d'existence du grand prix ce sont quelques millions d'euros qui ont été engloutis, qu'en a-t-on gardé?
-Si le GP a failli à créer de l'audience alors que le gratin du triathlon mondial était présent peut-on espérer qu'il le fasse avec des athlètes de calibre moindre?
- Quels sont les objectifs de la D1 pour un club, un organisateur, la fédé et peut-être aussi pour les médias et les athlètes?
- Quels sont les intérêts communs et ceux qui s'opposent?
- D'où vient l'argent qui fait tourner la D1 -hier, aujourd'hui & demain-?
Changer la formule de course, c'est comme remettre une couche de peinture sur une maison sans fondation... hormis rendre plus aléatoire le résultat final et fragiliser un peu plus les clubs, qu'est ce que cela va changer sur le fond?
- Pour remplir leur grille à moindre coup,
- tu es bien dure là. Une densité sans commune mesure en gars sur la génération Belaubre/Vidal/Luis. La suite sera plus compliqué car les jeunes n'arrivent plus à s'exprimer en D1 comme il y a encore 10 ou 15 ans.
- Aucun
- Club : Une vitrine locale. Cesson l'avait bien compris et faisait plus qu'exister au milieu du Hand (D1) et des autres sports. / Orga : Mise en avant d'un savoir faire et développement local / La fédé : clairement ceux qui ont le plus à prendre : Formation des elites, mise en avant Nationale (les allemand ont repris tout le concept avec succés, même les ricains ont enviés le GP et son succès), développement des filières sportives (reconnaissance par l'Etat avec poles etc.) / les médias, c'est quand même un des rares sports qui restent assez facile a couvrir, et dans la "tendance du moment" avec le trail etc. / Athletes : Financier et format de courses + ludiques et denses;
- Intérets communs : développement/animations Locale voire nationale / S'oppose : ça reste de la politique donc, tout ce qui va à l'un, ne convient pas à l'autre, surtout lorsqu'il n'y a aucun argent à la clé. Si tu prends Macca et ses orga/Squads, il ne le peut que parce qu'il a la sympathie du prince du Bahrein (1M€ de prize money pour le triple Crown 70.3, avec ça meme une Ryf avec un 1 jambes post Kona, s'y aligne/Endurance 13 : c'est le pognon qui tient tout le monde / Super league c'est pareil, et en plus le format est cool)
- L'argent vient à 80% des subventions des collectivités et quelques "mécènes" qui s'investissent à fond (Gérard Hervieu à Gonfreville, Philippe Gaudin à saint-Jean de monts, la famille Gros à Poissy... en allemagne le Team Ejot).
AMHA, la seule solution court terme c'est de retrouver (beaucoup) d'argent via un sponsor.
Et à moyen long terme, prendre les rennes des instantces pour sortir de France et penser Européen, sur la base du modèle français, avec des formats court et dynamique comme la super League, pour eviter la fatigue via des saisons de 12 mois...
Bref, offrir une vision globale au sport.