FAYARD a écrit : 25 août 2017, 08:29
Gadagne a écrit : 25 août 2017, 04:39
Oui donc tu fais un écart sans regarder dans ton rétro
Sans mettre de clignotant
Tu manques de renverser un cycliste
Tu te poses en justicier(interdit aux vélo)
Tu l'agresses verbalement ET physiquement

parce que tu as RAISON(dans ton esprit) et que tu te poses en moralisateur .
On voit bien que la voiture révèle la connerie et l'agressivité humaine
Gadagne, pourquoi tu perds encore ton temps avec ce mytho ???
Je sais pas si jhr est un mytho, mais mon problème, Gadagne et Fayard, c'est qu'à vous lire, on pourrait penser que piétons et cyclistes peuvent tout se permettre, même de ramener leur grande gueule jusqu'au délire quand ils sont en tort, et que même ils ne le seraient jamais.
Que la loi les protège c'est évidemment une bonne chose, nécessaire. Mais on est arrivé maintenant à un degré d'inattention et de j'm'enfoutisme tel qu'on est bien souvent dans le grand n'importe quoi. Une bonne loi est d'ores et déjà arrivée à ses limites, car sans réactivation régulière du niveau de conscience, tout se dégrade, dans tous les domaines.
On en est donc maintenant arrivé à un niveau tel que le point crucial est de relever ce niveau de conscience, et qu'au delà des pubs suisses magiques, géniale au demeurant, il n'est peut-être pas inopportun d'envisager un toilettage de ladite loi. Avec comme toujours le juge derrière, pour remettre les choses en perspective. Mais peut-être qu'au delà de nos remarques, c'est ce qui se fait de manière suffisante, je ne connais pas l'actualité de la jurisprudence sur ce point, sauf que si c'est le cas, je ne pense pas que nos amis cyclistes et piétons tête en l'air en aient écho et puissent y réfléchir.
En attendant, quelle que soit la loi et son application, quand cyclistes et piétons inconscients sont ad patres ou en fauteuil car en tort dans le réel, ça doit leur faire une belle jambe.
Soyons fous: puisqu'on judiciarise maintenant à tout va, (perso je ne suis pas pour, mais ça pourrait être ici une illustration du "à quelque chose malheur est bon"), pourquoi pas un procès par un automobiliste à un accidenté dont le comportement a objectivement été la cause de l'accident, procès s'appuyant sur le traumatisme psychologique subi par l'automobiliste devant les conséquences de l'accident dont il n'était pas responsable, afin de mettre ce débat sur la place publique

?
Top number one en nombre de vues : done.
Manneken disparu : merci Gérald ?