kimaswan a écrit :Les watts donnés par la méthode semblent assez proches de la réalité (on a pas mal d'exemple de wattage grâce à strava pour comparer) donc la méthode semble relativement bonne. Par contre, c'est l'interprétation de la perf qui pose ensuite problème, comme tu le dis, type d'étape, succession d'étape, température, altitude. Pour un même wattage, la perf peut-être étrange ou normale suivant les conditions. S'amuser à faire un tableau avec 8 montées finales, se baser sur un calcul de watt, faire une moyenne de watt et comparer avec des chiffres d'une année précédente, c'est quand même se reposer sur une échelle de marges d'erreur et ça me semble quand même pas franchement sérieux.abdo_kassou a écrit :Ce Vayer, c'est un fumiste de première catégorie, qui fait son beurre sur le dos des dopés. Je suis pas sûr qu'il soit un jour monté sur un vélo. Exemple: l'Aspin, je le monte toujours en début de saison. Là je m'améliore de plus de 8', me retrouvant une 2ème jeunesse. Mon secret? L'EPO? Non! Vent favorable, température idéale.Pelvoux a écrit :recap des perf sur le tour ( vayer/portoleau ):
http://www.lemonde.fr/tour-de-france/ar ... 16918.html
Les comparaisons établies se font sur des cols peu fréquentés par les coureurs, et comment comparer Le Ventoux? Déjà les chiffres sont sujets à caution (une étude sur Sport et vie donnait des fourchettes d'erreur de l'ordre de 150W!!!!).
Bref, peu crédible. Si on regarde les chronos maintenant, tout aussi peu fiables (circonstances de course avant, vent, revêtement etc, sur des cols aussi court c'est pas sérieux, sur L'Alpe d'Huez ok Plateau de Beille ok mais St Gervais...), le seul qui peut être révélateur c'est celui d'Arcalis.
En 1997, 3eme étape de montagne (la veille un 4 cols Pau Loudenvielle), étape longue + gros dénivelé, très grosse chaleur, et cette année grosse bagarre et même première passe d'arme, eh bien les chronos sont très très loin des valeurs stratosphériques d'Ulrich, Virenque et consort.
Pour l'interprétation, là on rentre dans le dur: