en fait, c'est assez bizarre: l'envie, ça va, ça vient et ça s'en va.
Sur Embrun, aprés un petit
pipi en natation (trop cool), je tiens sans problémes jusqu'à la fin du marathon , soit 12 à 13h plus tard. En plus, quand je vais au petit coin, là où je m'attends au déluge, queue nini: 3 gouttes.
?C'est peut-être pas trés bon pour les reins
JUSTE UNE ANECDOCTE; j'ai fait beaucoup de cyclosportives, et là, vaut mieux pas s'arréter quand tu es dans le bon paquet. Une fois sur un long faux plat descendant j'ai essayé (sur le vélo): eh ben impossible. Quand j'en eu marre d'avoir le petit oiseau dans le vent et que j'ai eu 200m de retard sur le groupe, j'ai tout remballé et aprés 5 kms à bloc, oubliée l'envie!
donc mon conseil: tu te met à bloc et ça passe (sauf si tu as une chaudepisse).
PLUS SERIEUSEMENT; sur un
ironman, ça se gére facilement. Choisis une portion facile et si possible qui suit une portion difficile (exemple , début de la descente aprés le sommet de la côte: ça te permets de récupérer, et puis tu n'auras pas de problémes pour relancer). Ensuite profite en pour faire d'autres tâches utiles : mettre un coupe vent si descente de col, sortir et déballer le ravitaillement (mais ne l'arrose pas trop...) que tu vas ensuite manger tranquillement sur la portion facile qui suit .
En tout cas, vaut mieux s'arrêter que de se pîsser dessus... Et les cyclistes qui se pissent dessus tout en pédalant, eux sont des exemples de bien vivre et de santé hygiénique.
Atteindre son but... Est-il dans la vie pire désenchantement ?