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Bonjour,
Ce n'est pas la période idéale pour porter une trifonction ou un combi short + singlet mais je commence à m'intéresser à mon équipement de la saison prochaine.
Je vois bien un avantage à mettre un short + un singlet puisque ça donne la possibilité de mettre un débardeur lors de la course à pied. Mais à part ça, quels sont les critères qui peuvent orienter vers l'un ou l'autre ?

Suite à des crampes aux quadriceps j’ai voulu passer au short et haut compressport, j’en suis revenu. Maintenant je réutilise une swim standard. Une des raisons est le short qui descend en vélo et en course à pied qui pour moi est très désagréable. Avec la swim tout est attaché donc plus de soucis .

Moi perso c'est trifonction a manches c'est bien confortable (apres cela depend surtout du modèle)
Le short + singlet c'est bien aussi mais en position aéro tu as le dos découvert et v'la le coup de soleil sur les lombaires... pas très agréable, de plus le frottement des bras me faisait super mal.

Merci pour ces détails auxquels je n'avais pas vraiment pensé.

Sauf si bien sûr tu roules en antidrafring 650 où la trifonction est interdite et il n’est autorisé que le singlet avec slip moule burne obligatoire .

Si tu as tendance à passer souvent par la case « toilettes » alors short + singlet sera plus adapté

coleopt a écrit : ↑23 déc. 2017 19:24 Sauf si bien sûr tu roules en antidrafring 650 où la trifonction est interdite et il n’est autorisé que le singlet avec slip moule burne obligatoire .

Bonjour, même si l'on a au moins un exemple qu'en dépit de n'en avoir qu'une on avance quand même très vite à vélo, le pluriel est le plus souvent associé à "burnes" lorsque synonyme de "roubinioles", "roustons" ou "joyeuses".
Néanmoins, assez d'accord avec toi sur la cohérence tenue-matos, même si, à titre perso, j'y déroge depuis une paire (là aussi) d'années.
A+!

coleopt a écrit : ↑ Sauf si bien sûr tu roules en antidrafring 650 où la trifonction est interdite et il n’est autorisé que le singlet avec slip moule burne obligatoire .

Bonjour, même si l'on a au moins un exemple qu'en dépit de n'en avoir qu'une on avance quand même très vite à vélo, le pluriel est le plus souvent associé à "burnes" lorsque synonyme de "roubinioles", "roustons" ou "joyeuses".
Néanmoins, assez d'accord avec toi sur la cohérence tenue-matos, même si, à titre perso, j'y déroge depuis une paire (là aussi) d'années.
A+!

La majorité ne fait la globalité, et je milite pour cette différence . Halte à la suprématie du pluriel. Bon vu que dans la famille nous sommes mono cette pensée me tient au ventre . Dans les écrits, il est marqué que cela nous vient de la révolution , sur les baricades du pont de la concorde mon aïeul , Baptiste Hautjoyeux, a reçu une balle de fusil Charleville, à un endroit qui à l’epoque faisait sa renommée. Puis de génération en génération tel l’homme de l’atlantique , le génétique faisant son travail ,cette malencontreuse mésaventure, a transformé à jamais le visage ( si je puis dire ) de notre famille. J’ai donc créé avec l’aide de mon ami, Jean Claude Convenant, un groupe de parole la LICOUN ( la ligue de la couille unique) afin d’ouvrir le monde à cette idée novatrice , progressiste : il n’est pas obligatoire d’etre au pluriel pour être une burne.
Vive la burne libre.

Merci pour ce morceau d'histoire de France que j'ignorais !