Re: Information dopage...
Publié : 09 nov. 2013 21:00
Non, mais il observera une augmentation de sa performance de l'ordre de +15 à 20% selon ton message.VIE a écrit :Un cheval de labour "chargé" à l'EPO et aux anabolisants ne gagnera jamais le prix d'amérique...
Ou de 2h05 à 1h37 ?débutant a écrit :Non, mais il observera une augmentation de sa performance de l'ordre de +15 à 20% selon ton message.VIE a écrit :Un cheval de labour "chargé" à l'EPO et aux anabolisants ne gagnera jamais le prix d'amérique...
Tu passes de 3h30 au marathon à 2h48 (20% de mieux). Ou de 3h00 à 2h24.
Non, si tu en prends déjà, ça ne s'aditionne pas si tu doubles la doseBen boost a écrit :Ou de 2h05 à 1h37 ?débutant a écrit :Non, mais il observera une augmentation de sa performance de l'ordre de +15 à 20% selon ton message.VIE a écrit :Un cheval de labour "chargé" à l'EPO et aux anabolisants ne gagnera jamais le prix d'amérique...
Tu passes de 3h30 au marathon à 2h48 (20% de mieux). Ou de 3h00 à 2h24.
J'aime bien la notion de pourcentage en matiere de gain de performance...
BonjourVIE a écrit :J'ai beaucoup de respect pour celles et ceux qui briguent les podium de notre sport, mais le véritable champion, selon moi, n'est pas celui qui boucle Embrunman en 10 heures ( ce qui n'enlève rien à la performance du reste ).
" saler la soupe" pour gagner le marathon de New York ou le tournoi de Roland Garros, je désavoue, mais je peux comprendre le cheminement d'esprit, mais le faire pour glaner un top 10 au triathlon longue distance de Gérardmer ou Embrun, ça me sidère un peu...
Ma réflexion profonde c'est que le sport que nous avons choisi reste un sport de substitution.
Les as du triathlon le sont parce que leur niveau de performance le plus élevé dans l'une des trois disciplines ne leur permet pas de tutoyer le haut niveau dans cette discipline, sinon, je pense qu'il faut s'en convaincre, leur choix ne se serait pas porté sur le triathlon dont il faut bien admettre qu'il ne nourrit pas son homme.
Le champion olympique du marathon vit de son talent, le champion olympique de natation aussi, le vainqueur de Paris-Roubaix itou, quand au vainqueur de l'embrunman ou du CD de la Baule, j'ai beaucoup plus de doutes...
Tout cela pour penser que les tarifs du dopage du XXIème siècle sont incompatibles avec les moyens des champions du triathlon, et que finalement, je ne suis pas convaincu que les "moyens de dopage" de certains triathlètes soient véritablement perfectionnés, et ne permettent, en aucun cas, une amélioration de la performance de 20%...
J'en reviens à mon idée initiale, "on ne transforme pas un cheval de labour en cheval de course..."
Il reste aux autres la malto et autres tubes de perlimpinpin dont les revues nous bassinent le cervelet pour parait-il améliorer nos performances...
Ça, je suppose ?VIE a écrit :.. avec cette petite différence que l'EPO n'est plus le must pour les athlètes "bien organisés" qui sont passés à autre chose...
Une molécule qui multiplie les globules rouges ( idem EPO et augmentation de la performance de 15 à 20% ) et, cerise sur le gâteau (... ou sur l'hémoglobine... ), permet à l'utilisateur d'accélérer la filière combustion des graisses de manière artificielle.
Ce qui explique le gabarit "rescapé de auschwitz" des cyclistes professionnels qui n'ont plus que la peau, les os, et les muscles...
cette course à l'armement ne s'arrêtera jamais car les laboratoires de fabrication ont toujours une longueur d'avance sur les laboratoires... chargés des contrôles.
Cela dit, n'oublions jamais que le produit ne fait pas tout, et que le champion l'est prioritairement dans ses gènes.
Un cheval de labour "chargé" à l'EPO et aux anabolisants ne gagnera jamais le prix d'amérique...
Il t'en reste ?Christian Robin a écrit :Ça, je suppose ?
viewtopic.php?f=14&t=48694&p=892296&hilit=aicar#p892296
Un mec comme Javier Gomez a gagné plusieurs dizaines de milliers d'euros cette année juste avec les primes de victoires. Je pense qu'il vit très bien, contrairement à l'espagnol moyen...des joueurs de foot de L1 ou des cyclistes pro ne gagnent pas autant que lui...VIE a écrit :J'ai beaucoup de respect pour celles et ceux qui briguent les podium de notre sport, mais le véritable champion, selon moi, n'est pas celui qui boucle Embrunman en 10 heures ( ce qui n'enlève rien à la performance du reste ).
" saler la soupe" pour gagner le marathon de New York ou le tournoi de Roland Garros, je désavoue, mais je peux comprendre le cheminement d'esprit, mais le faire pour glaner un top 10 au triathlon longue distance de Gérardmer ou Embrun, ça me sidère un peu...
Ma réflexion profonde c'est que le sport que nous avons choisi reste un sport de substitution.
Les as du triathlon le sont parce que leur niveau de performance le plus élevé dans l'une des trois disciplines ne leur permet pas de tutoyer le haut niveau dans cette discipline, sinon, je pense qu'il faut s'en convaincre, leur choix ne se serait pas porté sur le triathlon dont il faut bien admettre qu'il ne nourrit pas son homme.
Le champion olympique du marathon vit de son talent, le champion olympique de natation aussi, le vainqueur de Paris-Roubaix itou, quand au vainqueur de l'embrunman ou du CD de la Baule, j'ai beaucoup plus de doutes...
Tout cela pour penser que les tarifs du dopage du XXIème siècle sont incompatibles avec les moyens des champions du triathlon, et que finalement, je ne suis pas convaincu que les "moyens de dopage" de certains triathlètes soient véritablement perfectionnés, et ne permettent, en aucun cas, une amélioration de la performance de 20%...
J'en reviens à mon idée initiale, "on ne transforme pas un cheval de labour en cheval de course..."
Il reste aux autres la malto et autres tubes de perlimpinpin dont les revues nous bassinent le cervelet pour parait-il améliorer nos performances...
Je pense pas qu'il soit très juste de placer le CD de la Baule ou Embrun au niveau d'une médaille olympique Le sport qui nourrit le mieux son homme comme tu dis, c'est le foot en L1. Dois je déduire de ton raisonnement que tous les autres sportifs (et une bonne partie de la société d'ailleurs) sont des footeux ratés? Le simple talent ne suffit pas pour arriver au niveau de l'élite dans la pluspart des sports, il faut énormément de travail et de sacrifices et bien sûr quelques prédispositions, si tu n'aimes pas la discipline que tu fais, difficile pour un athlète d'y arriver d'autant que ce n'est pas ça qui paye (sauf pour une petite poignée).VIE a écrit : Ma réflexion profonde c'est que le sport que nous avons choisi reste un sport de substitution.
Les as du triathlon le sont parce que leur niveau de performance le plus élevé dans l'une des trois disciplines ne leur permet pas de tutoyer le haut niveau dans cette discipline, sinon, je pense qu'il faut s'en convaincre, leur choix ne se serait pas porté sur le triathlon dont il faut bien admettre qu'il ne nourrit pas son homme.
Le champion olympique du marathon vit de son talent, le champion olympique de natation aussi, le vainqueur de Paris-Roubaix itou, quand au vainqueur de l'embrunman ou du CD de la Baule, j'ai beaucoup plus de doutes...
13h00 à Embrun en 2013, c'est un cheval de labour de compète, car il se classe dans les 15% ...débutant a écrit :Non, mais il observera une augmentation de sa performance de l'ordre de +15 à 20% selon ton message.VIE a écrit :Un cheval de labour "chargé" à l'EPO et aux anabolisants ne gagnera jamais le prix d'amérique...
Tu passes de 3h30 au marathon à 2h48 (20% de mieux). Ou de 3h00 à 2h24.
Et à Embrun tu passes de 13h00 (cheval de labour) à 10h24 (presque le TOP 5 en 2013).
Tu as raison, sur OLT, un cheval de labour, un pimpim, un "AMHA" , un diesel, etc. est une ou un triathète n'ayant pas gagné HAWAÏ lors de la dernière édition.flu a écrit :13h00 à Embrun en 2013, c'est un cheval de labour de compète, car il se classe dans les 15% ...